Bésame por si acaso

Se me habia olvidado pero en realidad sigo siendo parisina. Por mas que le busco defectos esta ciudad me sigue pareciendo magica por sus cuatro costados, aunque a veces no me doy ni cuenta de que estan ahi ni la Tour Eiffel ni el Arco del Triunfo. Algunas cosas han cambiado pero la esencia de la ciudad sigue siendo la misma, y yo me sigo sintiendo con pez en el agua.

Comme tu le sais, tu m’as plû depuis le jour où on a fait connaissance. Tu étais tout rigolo, tout mignon, tout gentil… je t’adorais. Toi, tu draguais avec toutes mes amies et puis avec toutes les filles autour de toi et de moi. Après, tu as fait ta métamorphose et ton côté mignon a changé en côté crétin. Tu es devenu si nul que j’ai été obligée d’arrêter de te voir, je ne te supportais plus. [...] Quelques mois plus tard, quelques jours avant que je quitte Paris, tu m’as dis que je suis un de tes plus grands regrets. Que cabrón. Puis, je dors chez toi et au réveil, au lieu d’être avec moi, je te trouve dans le canapé avec un mec. Il y a des choses que, franchement, se font pas. Tout ça pour te dire : ne viens pas à Madrid si tu ne comptes pas me faire l’amour.

Escribir para que te quieran, sobre todo tus amigos. Escribir para cambiar el mundo abrazado a la causa. Escribir para olvidar y para que te olviden. Escribir como una puta, por los derechos de autor y por el amor de los desconocidos. No se me ocurren mejores razones que éstas que nos regaló Kevin un día cualquiera de febrero.

Un poeta amigo mío me dijo una vez que el peso de un cuerpo desnudo puede modificar el equilibrio. Y es que en realidad el equilibrio es algo tan inestable... Hay cienes y cienes de cosas que pueden hacernos perderlo. Recuperarlo, en cambio, es bastante más complicado. En estos últimos días, en que la arbitrariedad de alguna gente me ha comido las entrañas, me gustaría dedicar el premio de mi felicidad a Cris por sus noticias parisinas, a Pingui porque ella lo vale y a Yago porque aunque se ría de mi chaqueta fucsia hoy me ha propuesto un planazo para la vida. Supongo, que al final, como decía Rosendo, todo es cuestión de maneras de vivir. Lo del equilibrio, digo. PD. Chequita, always in my mind.

Después de la comuna, los pichurros y las demonias, los payasos borrachos se unen como colectivo para llevar la felicidad por el mundo. Allí donde haya una botella de vodka ukraniano, allí estarán ellos (a pesar de los capellini de Pingui...). Pd: la cosa mejora incluso con una guitarra. Larga vida a los Payasos Borrachos!!!

Comme toujours, il n'y a qu'Osqvar pour se faire remarquer comment seulement il le peut. Comme toujours aussi une bonne excuse: son anniv. Les photos du jeu de pistes 2006 me rappellent l'édition de l'année dernière, chez lui, en train de mouiller les feuilles avec du café pour qu'ils semblent vieuilles... les gens qui attendaient à la Tour Eiffel, la performance (un classique chez lui), la maison de Nicolas Flamel et la piste dans le metro de l'Hôtel de Ville cachée... Bref, Paris quoi. Comme disait Nicolas de Chamfort, Paris, ville d'amusements, de plaisirs, etc., où le quatre cinquième des habitants meurent de chagrin.

It used to be my second house in Paris. Des que je mettais le pied là, je me sentais à l'aise. Une grande partie de tous les choses qui ont fait de mon séjour à Paris une des meilleurs époques de ma vie, si non la meilleure, sont passés là. Coté statistique, 80% des photos que j'ai des Paris sont là et 95% des amis qui sont venus me rendre visite ont pris des pints la bas... La première année les rendez-vous des jeudis des assistantes des langues, mes amis. On ne savais jamais combien de monde nous serions mais une chose était sur: bon ambiance et rires garantis. A chaque fois qu'on connaissait qqn qui valait la peine on lui invitait à ces soirées (bien evidement on était toujours trop serrés, on était tellement nombreux...). Le deuxième année, les amis francais (francophones plutot): Xavi, Fred, Johny... le bonheur quoi. Des soirées et des soirées et toujours des rires, une pint, deux pints... Andrew toujours là, le petit anglais a grandi dans ce bar, même ses parents sont...

Como decia Hemingway, despues de haber vivido en Paris, no se puede vivir en ninguna otra ciudad... ni incluso en Paris. Gracias Cris por iluminarme con tu sapiencia. Photo by Willy Ronis

Comme quoi, on peut être heureux à Paris. Best of: Cris, Kevin, shocks from Oxford (I love you Pinguipinguiiiii), smily cigarettes.

Y por cierto, un besote a mis amiguitos parisinos Cris, Kevin y Oscar. Aqui tambien se habla frances pero no es lo mismo... sin vosotros no es lo mismo. Y aupa el TAL, el retropesimismo, y todo lo que tu quieras, nen. Biz